Superar las burbujas mentales

Muchos economistas se han convertido en profetas de infortunios. Todavía esperamos una explicación racional de la crisis que nos asusta a todos. Nadie la predijo y tampoco se nos dice cuándo va a terminar. Las predicciones, eso sí, abundan en los medios a medida que muchos economistas han adquirido la condición de tertulianos sumándose a las transitorias controversias superficiales.

Son los economistas y los financieros quienes formulan la política que sobrevive desconcertada ante la falta de iniciativas basadas en los intereses de las personas en vez de las conveniencias de los técnicos de los mercados. El lenguaje es bien conocido y se expresa en términos de austeridad, reducción de déficit y contención de la deuda. Sería interesante que alguna autoridad de la troika enseñara un documento reciente en el que se prioriza el estímulo económico y el crecimiento a la ortodoxia inflexible de la austeridad que crea más paro y aumenta el déficit.

Burbujas

Burbujas

Allí donde no hace tanto reinaba la ética del trabajo, del esfuerzo y del ahorro, ahora nos movemos en la estética del consumo, del crédito y del bajo precio. Hace unos meses, la filósofa Nancy Fraser decía en La Contra de este diario: «Usted paga menos y pronto le pagarán menos». El low cost ha penetrado en el precio de los productos y ha acabado afectando al salario digno de las personas. El ejército de mileuristas será cada vez más numeroso hasta el punto que puede adelgazarse o desaparecer el amplio colchón de clases medias que eran precisamente las que tenían posibilidades de trabajar, progresar y consumir a precios razonables.

Ha habido muchas burbujas en este todavía breve siglo: la inmobiliaria, la de los negocios de tecnologías y la de los especuladores financieros. Pero también hemos construido burbujas mentales pensando que se podía ganar mucho con poco esfuerzo aprovechando las grietas que el sistema abría para que cualquiera pudiera enriquecerse con las quimeras bursátiles a los que muchos se entregaron con furor.

De esta crisis saldrán soluciones positivas. Habrá que crear la unión bancaria en la zona euro. Ello significa que Alemania debe aceptar los mismos riesgos que impone a los otros. Si crece el resentimiento contra Alemania será muy perjudicial para todos, también para los alemanes. Sin una reforma generosa y de amplias miras no saldremos del hoyo.

Publicado en La Vanguardia el 14-05-2013

  13 comentarios por “Superar las burbujas mentales

  1. Una clave, los desequilibrios económicos trasladan la riqueza de un lado a otro del mundo y la pobreza también y la inflación también hasta aquí nada nuevo.
    Que es nuevo, que la productividad generada por la revolución informática no supuso un incremento de los sueldos, que esta pasando ahora en esta nueva revolución que estamos empezando, que las nuevas tecnologías, nanotecnologia,grafeno, 3D, 4D por el momento tampoco están generando valor e incremento de sueldos.

  2. Referent a la Bombolla Espanyola.
    José Manuel Naredo En los años 90 empezó a preocuparse por los problemas que planteaba el peso creciente del negocio inmobiliario en el desarrollo económico español. En 1996 José Manuel Naredo publicó La burbuja inmobiliario-financiera en la coyuntura económica reciente sobre la década En los 1985-1995, análisis que nos deberían haber servido de experiencia para evitar las consecuencias de la burbuja recién pinchada.

    • Asi es y otros muchos mas economistas. Tambien habia el caso de Japon en los 90

  3. Lettre aux Français
    Le cri d’alarme du seul prix Nobel d’économie français :
    CONTRE LES TABOUS INDISCUTÉS

    Le fondement de la crise : l’organisation du commerce mondial

    La récente réunion du G20 a de nouveau proclamé sa dénonciation du « protectionnisme » ,dénonciation absurde à chaque fois qu’elle se voit exprimée sans nuance, comme cela vient d’être le cas. Nous sommes confrontés à ce que j’ai par le passé nommé «des tabous indiscutés dont les effets pervers se sont multipliés et renforcés au cours des années » (1. Car tout libéraliser, on vient de le vérifier, amène les pires désordres. Inversement, parmi les multiples vérités qui ne sont pas abordées se trouve le fondement réel de l’actuelle crise : l’organisation du commerce mondial, qu’il faut réformer profondément, et prioritairement à l’autre grande réforme également indispensable que sera celle du système bancaire.
    Les grands dirigeants de la planète montrent une nouvelle fois leur ignorance de l’économie qui les conduit à confondre deux sortes de protectionnismes : il en existe certains de néfastes, tandis que d’autres sont entièrement justifiés. Dans la première catégorie se trouve le protectionnisme entre pays à salaires comparables, qui n’est pas souhaitable en général. Par contre, le protectionnisme entre pays de niveaux de vie très différents est non seulement justifié, mais absolument nécessaire. C’est en particulier le cas à propos de la Chine, avec laquelle il est fou d’avoir supprimé les protections douanières aux frontières. Mais c’est aussi vrai avec des pays plus proches, y compris au sein même de l’Europe. Il suffit au lecteur de s’interroger sur la manière éventuelle de lutter contre des coûts de fabrication cinq ou dix fois moindres – si ce n’est des écarts plus importants encore – pour constater que la concurrence n’est pas viable dans la grande majorité des cas. Particulièrement face à des concurrents indiens ou surtout chinois qui, outre leur très faible prix de main-d’œuvre, sont extrêmement
    compétents et entreprenants.
    Il faut délocaliser Pascal Lamy !
    Mon analyse étant que le chômage actuel est dû à cette libéralisation totale du
    commerce, la voie prise par le G20 m’apparaît par conséquent nuisible. Elle va se
    révéler un facteur d’aggravation de la situation sociale. À ce titre, elle constitue une sottise majeure, à partir d’un contresens incroyable. Tout comme le fait d’attribuer la crise de 1929 à des causes protectionnistes constitue un contresens historique. Sa véritable origine se trouvait déjà dans le développement inconsidéré du crédit durant les années qui l’ont précédée. Au contraire, les mesures protectionnistes qui ont été prises, mais après l’arrivée de la crise, ont certainement pu contribuer à mieux la contrôler. Comme je l’ai précédemment indiqué, nous faisons face à une ignorance criminelle. Que le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, Pascal Lamy, ait déclaré : « Aujourd’hui, les leaders du G20 ont clairement indiqué ce qu’ils attendent du cycle de Doha : une conclusion en 2010
    » et qu’il ait demandé une accélération de ce processus de libéralisation m’apparaît une
    méprise monumentale, je la qualifierais même de monstrueuse. Les échanges, contrairement à ce que pense Pascal Lamy, ne doivent pas être considérés comme un objectif en soi, ils ne sont qu’un moyen. Cet homme, qui était en poste à Bruxelles auparavant, commissaire européen au Commerce, ne comprend rien, rien, hélas ! Face à de tels entêtements suicidaires, ma proposition est la suivante : il faut de toute urgence délocaliser Pascal Lamy, un des facteurs majeurs de chômage !
    Plus concrètement, les règles à dégager sont d’une simplicité folle : du chômage résultent des délocalisations elles-mêmes dues aux trop grandes différences de salaires… À partir de ce constat, ce qu’il faut entreprendre en devient tellement évident ! Il est indispensable de rétablir une légitime protection. Depuis plus de dix ans, j’ai proposé de recréer des ensembles régionaux plus homogènes, unissant plusieurs pays lorsque ceux-ci présentent de mêmes conditions de revenus, et de mêmes conditions sociales. Chacune de ces « organisations régionales » serait autorisée à se protéger de manière raisonnable contre les écarts de coûts de production assurant des avantages indus a certains pays concurrents, tout en maintenant simultanément en interne, au sein de sa zone, les conditions d’une saine et réelle concurrence entre ses membres associés.
    Un protectionnisme raisonné et raisonnable
    Ma position et le système que je préconise ne constitueraient pas une atteinte aux pays en développement. Actuellement, les grandes entreprises les utilisent pour leurs bas coûts, mais elles partiraient si les salaires y augmentaient trop. Ces pays ont intérêt à adopter mon principe et à s’unir à leurs voisins dotés de niveaux de vie semblables, pour développer à leur tour ensemble un marché interne suffisamment vaste pour soutenir leur production, mais suffisamment équilibré aussi pour que la concurrence interne ne repose pas uniquement sur le maintien de salaires bas. Cela pourrait concerner par exemple plusieurs pays de l’est de l’Union européenne, qui ont été intégrés sans réflexion ni délais préalables suffisants, mais aussi ceux d’Afrique ou d’Amérique latine.
    L’absence d’une telle protection apportera la destruction de toute l’activité de chaque pays ayant des revenus plus élevés, c’est-à-dire de toutes les industries de l’Europe de l’Ouest et celles des pays développés. Car il est évident qu’avec le point de vue doctrinaire du G20, toute l’industrie française finira par partir à l’extérieur. Il m’apparaît scandaleux que des entreprises ferment des sites rentables en France ou licencient, tandis qu’elles en ouvrent dans les zones à moindres coûts, comme cela a été le cas dans le secteur des pneumatiques pour automobiles, avec les annonces faites depuis le printemps par Continental et par Michelin. Si aucune limite n’est posée, ce qui va arriver peut d’ores et déjà être annoncé aux Français : une augmentation de la destruction d’emplois, une croissance dramatique du chômage non seulement dans l’industrie, mais tout autant dans l’agriculture et les services.
    De ce point de vue, il est vrai que je ne fais pas partie des économistes qui emploient le mot « bulle ». Qu’il y ait des mouvements qui se généralisent, j’en suis d’accord, mais ce terme de « bulle » me semble inapproprié pour décrire le chômage qui résulte des délocalisations. En effet, sa progression revêt un caractère permanent et régulier, depuis maintenant plus de trente ans. L’essentiel du chômage que nous subissons —tout au moins du chômage tel qu’il s’est présenté jusqu’en 2008 — résulte précisément de cette libération inconsidérée du commerce à l’échelle mondiale sans se préoccuper des niveaux de vie. Ce qui se produit est donc autre chose qu’une bulle, mais un phénomène de fond, tout comme l’est la libéralisation des échanges, et la position de Pascal Lamy constitue bien une position sur le fond.
    Crise et mondialisation sont liées
    Les grands dirigeants mondiaux préfèrent, quant à eux, tout ramener à la monnaie, or elle ne représente qu’une partie des causes du problème. Crise et mondialisation : les deux sont liées.
    Régler seulement le problème monétaire ne suffirait pas, ne réglerait pas le point essentiel qu’est la libéralisation nocive des échanges internationaux, Le gouvernement attribue les conséquences sociales des délocalisations à des causes monétaires, c’est une erreur folle.
    Pour ma part, j’ai combattu les délocalisations dans mes dernières publications (2). On connaît donc un peu mon message. Alors que les fondateurs du marché commun européen à six avaient prévu des délais de plusieurs années avant de libéraliser les échanges avec les nouveaux membres accueillis en 1986, nous avons ensuite, ouvert l’Europe sans aucune précaution et sans laisser de protection extérieure face à la concurrence de pays dotés de coûts salariaux si faibles que s’en défendre devenait illusoire. Certains de nos dirigeants, après cela, viennent s’étonner des conséquences !
    Si le lecteur voulait bien reprendre mes analyses du chômage, telles que je les ai publiées dans les deux dernières décennies, il constaterait que les événements que nous vivons y ont été non seulement annoncés mais décrits en détail. Pourtant, ils n’ont bénéficié que d’un écho de plus en plus limité dans la grande presse. Ce silence conduit à s’interroger.
    Un prix Nobel… téléspectateur
    Les commentateurs économiques que je vois s’exprimer régulièrement à la télévision pour analyser les causes de l’actuelle crise sont fréquemment les mêmes qui y venaient auparavant pour analyser la bonne conjoncture avec une parfaite sérénité. Ils n’avaient pas annoncé l’arrivée de la crise, et ils ne proposent pour la plupart d’entre eux rien de sérieux pour en sortir. Mais on les invite encore. Pour ma part, je n’étais pas convié sur les plateaux de télévision quand j’annonçais, et j’écrivais, il y a plus de dix ans, qu’une crise majeure accompagnée d’un chômage incontrôlé allait bientôt se produire, je fais partie de ceux qui n’ont pas été admis à expliquer aux Français ce que sont les origines réelles de la crise alors qu’ils ont été dépossédés de tout pouvoir réel sur leur propre monnaie, au profit des banquiers.
    Par le passé, j’ai fait transmettre à certaines émissions économiques auxquelles j’assistais en téléspectateur le message que j’étais disposé à venir parler de ce que sont progressivement devenues les banques actuelles, le rôle véritablement dangereux des traders, et pourquoi certaines vérités ne sont pas dites à leur sujet. Aucune réponse, même négative, n’est venue d’aucune chaîne de télévision et ce durant des années.
    Cette attitude répétée soulève un problème concernant les grands médias en France : certains experts y sont autorisés et d’autres, interdits. Bien que je sois un expert internationalement reconnu sur les crises économiques, notamment celles de 1929 ou de 1987, ma situation présente peut donc se résumer de la manière suivante : je suis un téléspectateur. Un prix Nobel… téléspectateur, Je me retrouve face à ce qu’affirment les spécialistes régulièrement invités, quant à eux, sur les plateaux de télévision, tels que certains universitaires ou des analystes financiers qui garantissent bien comprendre ce qui se passe et savoir ce qu’il faut faire. Alors qu’en réalité ils ne comprennent rien. Leur situation rejoint celle que j’avais constatée lorsque je m’étais rendu en 1933 aux États-Unis, avec l’objectif d’étudier la crise qui y sévissait, son chômage et ses sans-abri : il y régnait une incompréhension intellectuelle totale. Aujourd’hui également, ces experts se trompent dans leurs explications. Certains se trompent doublement en ignorant leur ignorance, mais d’autres, qui la connaissent et pourtant la dissimulent, trompent ainsi les Français.
    Cette ignorance et surtout la volonté de la cacher grâce à certains médias dénotent un
    pourrissement du débat et de l’intelligence, par le fait d’intérêts particuliers souvent liés à l’argent. Des intérêts qui souhaitent que l’ordre économique actuel, qui fonctionne à leur avantage, perdure tel qu’il est. Parmi eux se trouvent en particulier les multinationales qui sont les principales bénéficiaires, avec les milieux boursiers et bancaires, d’un mécanisme économique qui les enrichit, tandis qu’il appauvrit la majorité de la population française mais aussi mondiale.
    Question clé : quelle est la liberté véritable des grands médias ? Je parle de leur liberté par rapport au monde de la finance tout autant qu’aux sphères de la politique.
    Deuxième question : qui détient de la sorte le pouvoir de décider qu’un expert est ou non autorisé à exprimer un libre commentaire dans la presse ?
    Dernière question : pourquoi les causes de la crise telles qu’elles sont présentées aux Français par ces personnalités invitées sont-elles souvent le signe d’une profonde incompréhension de la réalité économique ? S’agit-il seulement de leur part d’ignorance ? C’est possible pour un certain nombre d’entre eux, mais pas pour tous. Ceux qui détiennent ce pouvoir de décision nous laissent le choix entre écouter des ignorants ou des trompeurs. •
    Maurice Allais.

  4. En mi opinión, no tenemos un problema de austeridad, bombollas, etc. El problema es el sistema económico en general. Existen los valores especulativos que han generado la crisis?. Antes, por ejemplo, un pagés compraba un animal para labrar y lo pagaba a toca teja. Después pasamos a comprar, por ejemplo, un coche, lo pagamos a crédito. Un piso, con una hipoteca a 50 años, y así también preferentes, bonos basura y demás productos financieros que nadie a visto y alguien dice que valen lo que valen. Nuestra economía es un fantasma que sólo conocen(?) algunos. Mientras, nuestra avidez de consumo, ahora low cost, nos llevan a situaciones de exclavitud como los hechos ocurridos en Bangla Desh (gracias Sr. Amancio Ortega,2ª fortuna mundial). Ya no es un problema de austeridad, PIB, inflación, etc. Necesitamos un nuevo orden mundial para no consumir el planeta. Perdonen las molestias

  5. Eso es verdad. En los últimos cincuenta años los economistas han salido con principios y modelos muy generales. Probablemente su modelo es un caso especial de uno de estos modelos generales. Si es así, usted puede aplicar inmediatamente muchos de los resultados del modelo general a su caso especial y todas las técnicas que usted ha aprendido le ayudaran a analizar su modelo.

  6. voldria, agrair, felicitar i recomenar la lectura d’aquest article
    Joan martorell i barberà

  7. voldria, agrair, felicitar i recomenar la lectura d’aquest article

  8. Sr. Foix y compañeros/as del blog, muchas veces me he preguntado aquí en este mismo blog: ¿ Como vamos a crear puestos de Trabajo en una Economia de consumo, si estamos consumiendo casi todos los artículos de uso personal, Casero, oficina, industria fabricados en China, en el Sudeste Asiatico ó en el extranjero ? En realidad estamos creando puestos de Trabajo en el extranjero.

    ¿ De que nos sirve comprar más barato si luego se pierden millones de puestos de trabajo, consumidores y cotizantes al Estado y a la Seguridad Social ?

    Luego el Estado recorta a diestro y siniestro, corta las pagas a sus trabajadores funcionarios y les substrae las pagas extra ( Que en realidad no lo son, pues forman parte del salario total anual ) Luego subida de impuestos a mansalva. Solo y exclusivamente para salvar la caja del Estado. Se ayuda a los Bancos Burbujeros però se olvidan de los empresarios Pymes, ect.ect.

    Es una política horrorosamente negativa.

    Recuerdo aquí, como ejemplo, a Henry Ford Senior que fué el primero que estableció la jornada de 8 horas para sus empleades y además les aumento el sueldo, porque decía que quería que sus empleados pudieran adquirir el coche que su empresa fabricava.

    El mérito de imponer la jornada de las 8 horas y del aumento de sueldo fué de Henry Ford y de nadie más.

    Nos podemos salvar però hemos de volver a los principios de la economia. Ahora no es época de decir » Voy tirando » si no que debemos decir » Voy recogiendo »

    Como anècdota también de Enry Ford, citaré que de jovencito se presunto en un taller ó fàbrica a pedir trabajo y el dueño lo rechazo, pero cuando se marchaba Enry Ford el dueño que lo había rechazado y que lo estaba mirando desde la ventana de su oficina, observó que Henry Ford se acachaba para recoger un tornillo que estaba tirado en la acera y lo que ocurrió fué qu e eldueño que lo había rechazado lo llamó y ya entonces lo admitió, alegando que una persona que se agacha para recoger un tornillo , si le convenía a él y a su fábrica.

    Moraleja : Hemos estado tirando y aun tiramos a mansalva, muchas cosas que ahora nos servirían.

    Aqui parece que yace la solución.

  9. Recuerdo que allá por los años 80 y 90 se decía que los productos fabricados en china y en general en países con low cost de mano de obra se vendían en los países ricos entre ellos España que es donde había dinero para consumir, pero las empresas que se iban a estos países mano de obra barata cerraban en España con lo que se perdían puestos de trabajo…y decíamos cuando aquí se nos reduzcan los recursos para consumir, que pasará?

    Esto es precisamente lo que está ocurriendo en nuestro país.

    Quizás Europa quiera volver a producir pero a un coste muy inferior de la mano de obra?

  10. Sr.Foix: bajar el listón es lo que tiene..acabas tarde o temprano bajo tierra…resulta vergonzoso ver como una UE que no supo, o no quiso, ver venir la que se nos caía encima, sea capaz ahora de controlar a la cienmillonesima las cuentas de cada país en quiebra…no me cuadra nada de lo que vemos, nada de lo que nos cuentan o nos venden los gurús de la economía especulativa…de los tertulianos sólo hay que repasar hemerotecas y ver que muchos son capaces de opinar lo mismo y su contrario en función del momento y la situación…

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